AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

 :: Flood :: Rp's inachevés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

{X} Bodies and art FT Clotaire E. du Baillier

avatar




Invité
Invité
Dim 23 Aoû - 11:35



« Would u dance if I asked u to dance ?  »


Je monte les marches deux à deux, fantôme gris au milieu de la foule d'après midi. Déjà une semaine que je suis ici, derrière ces barreaux de plastique. A côté de la prison, les chaînes qui me retiennent à ce lieu sont une illusion d'optique.  A l'internat, on peut rester dehors après 19h, innovation majeure après deux ans dans ma boîte de béton. Je me sens à nouveau libre, mais j'ai à nouveau peur. Ici les regards me poursuivent, contrairement au temps ou j'étais l'âme de la rue. J'avais fini par devenir invisible aux yeux des gens, recouverte de cette épaisse couche de misère qui dissimulait mon identité même, me donnant la couleur des bâtiments d'asphalte.
Mais ici, je ne suis pas la Aemi pitoyable, aux yeux trop clairs et aux visage gris. Je fais un effort vis-à-vis de mon apparence, histoire de "rentrer dans le moule". Mais quand je crois mon rflet dans un miroir j'ai l'impression de me faire toiser par une étrangère à l'air vaguement familier… Depuis 5 ans j'ai beaucoup changé. Mon visage s'est affiné, et je ne me suis pas vue passer d'enfant à femme.
2ème étage. Je croise une dernière fois l'affiche du jeune homme que je devais rejoindre sur le toit. Je ne sais pas pourquoi j'ai mit mon ensemble en dentelles noires, presque instinctivement, alors que nous ne nous connaissons même pas. Je sais seulement de lui qu'il a une écriture délicate et qu'il m'attend là haut, pour peindre. Et j'avoue qu'il m'est plaisant de savoir que quelqu'un m'attend.
3éme étage. Je passe une dernière main dans mes cheveux gris et roses.

Un souffle de vent froid me caresse lorsque j'ouvre la porte du local menant au toit. Mes joues sont encore empourprées de ma montée des escaliers et mes jambes tremble légèrement. Je déteste cet air fragile qui m'inflige vos regards de pitié. Vous êtes toujours là, "Aemi, tu n'as pas froid ?" "Tu t'es fait mal ?", etcetera. Je peste tout en avançant dans la lumière mordorée d'une fin d'après midi. Les yeux fixés vers l'horizon j'aperçois enfin une silhouette. J'espère secrètement que c'est lui, car je suis sincèrement fatiguée, et j'ai hâte de poser, d'empocher les quelques euros qu'il promet en échange et de disparaître.
Une fois à deux mètre de lui je prends quelques secondes pour regarder, comme hypnotisée, ses cheveux voler au vent, fins et frêles filaments blancs. Je m'éclaircis la voix, pour ne pas avoir l'air trop essoufflée et noircis mes yeux.

"-Clotaire c'est ça ? Aemi. La fille d'hier."

En effet, je lui avait envoyé un texto histoire de fixer une heure et un lieu de rendez-vous. Il avait imposé la hauteur des toits sans se soucier de si oui ou non je suis atteinte de vertige, mais avait eu la galanterie de me laisser choisir l'horaire. Paradoxe ou maladresse, je ne saurais dire, mais je prends un malin plaisir à regarder chaque détails que je peux apercevoir de lui. Manie d'artiste.



C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E


À partir de l’adresse
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Dim 23 Aoû - 11:59
Il était plutôt heureux Clotaire. Il avait posté une annonce il y a quoi, deux ou trois jours et il avait son modèle. Une annonce pour quoi dira-t-on? Et bah c'est très simple, le jeune homme se languit de ne plus pouvoir peindre, sentir l'odeur de la peinture, le froissement de la toile sous la caresse sensuelle du pinceau et ses traces de couleurs qui restent comme des griffures sensuelles sur la peau. Il était surprit d'avoir une réponse si rapide, surtout que le modèle devait poser nu, bien heureusement c'était rémunérer bien... trois cent euros, l'équivalent d'une pièce d'un centime dans le porte monnaie de Clotaire. Cette toile pourrait lui rapporter au moins dix fois plus s'il arrivait à le vendre comme sa mère vendait ses propres tableaux dix-mille euros parfois. Ca lui ferait le plus grand bien de pouvoir peindre à nouveau après les événements avec Antoinette.

En effet, Clotaire était un peu désœuvrer, le râteau de sa meilleure amie, la femme qu'il aime depuis dix ans déjà l'avait profondément atteint, il trouvait ça affreusement douloureux de s'être battu tant d'année pour une femme, d'avoir "volé" de croupir ici tout ça pour se prendre un immense râteau, c'était certes égoïste, mais dieu qu'il en avait assez de son altruisme permanent, il avait tout donné à Antoinette, sans compter le prix économique, physique ou psychologique, il avait toujours aidé son amie qui lui racontait ses trouvailles sexuelles, ses plans culs montés comme des chevaux et le faisait affreusement complexé. Il avait toujours consolé la belle dans ses ruptures pleurant lui même intérieurement, toutes ces roses jaunes lors de la saint valentin symbole d'amour inavoué. Il regretté amèrement tout ça. Il voudrait juste qu'elle connaisse cette jalousie, ces sentiments. Oui, Clotaire voulait la rendre jalouse afin de pouvoir gagner son coeur, toutes ces techniques romanesques ne plaisaient pas, toute sa culture, ses talents artistiques, tout ce qui était pure ne semblait pas l'atteindre alors peu être que les messes basses y arriveraient? Mais comment y arriver? Lui qui n'a connu que Antoinette.

On lui adressa la parole.

Il était sur le toit et pensait depuis des heures. Le chevalet installé avec une toile format paysage de diamètre irrégulier d'un mètre trente de haut pour deux mètres de long. Le soleil descendait espérant croiser sa femme lors du crépuscule. Il se retourna jetant un rapide coup d'oeil à tout son matériel présent. Puis ses yeux coulèrent sur la demoiselle. Aemi, quel nom ravissant pensait Clotaire, digne d'une héroïne de Tolstoï, pourvu qu'elle ne souffre pas trop comme ses autres héroïnes. Il fut stupéfait de ses cheveux gris et roses, soyeux et délicat comme des nuages, de sa peau un peu gris lui donnait un charme incommensurable, comme une muse grecque, Clotaire ne s'attendait absolument pas à ça. Ses lèvres discrètes et pulpeuses captaient son attention, il se vit bien violence pour détacher son regard.

-Je vous souhaite le bonsoir Aemi. Je suis bien Clotaire Eudes du Bailler. Je suis des plus ravis que vous ayez acceptés ma proposition, surtout si rapidement, je ne m'y attendais absolument pas.

Il s'approcha d'elle, après ses mots très nobles il fallait accompagner tout cela d'un baise main délicat et gracieux alors que ses yeux oranges se plantaient quelques instants dans les siens. Il était ravi de son modèle et d'un oeil artistique il commença à observer ses formes en repositionnant sa montre rolex à plusieurs milliers d'euros.

-Nous n'aurons qu'une après midi, je vais faire tout cela dans un mouvement proche du surréalisme, cela vous semblera peu-être bâclé ou déshonorant d'avoir posée nue pour un tableau dont les traits ne seront pas aussi fins que ceux d'un tableau de la renaissance allemande. Mais si vous êtes un modèle formidable je vous reprendrai pour des sessions en intérieur pour des travaux bien plus colossaux. Bien je vous prierai demoiselle Aemi de vous mettre nue. Je vous laissez adopter la posture, mais j'ai besoin que vous essayiez de vous "fondre" dans les immeubles de la ville. Si vous voulez, je veux représenter la femme comme la société peu la voir, simple instrument, simple structure sociale, simple objet pratique, esthétique de décoration, utile aux hommes mais reléguée parfois au second plan. Une métaphore de l'amour instrumentalisé
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Dim 23 Aoû - 20:56



« won't u stay for a while »

Nos deux silhouettes se découpent sur un fond d'immeubles et de crépuscule. La légère brume du soir danse, et j'observe en silence ses volutes caresser le chevalet taillé dans un bois tellement noble que je ne connais même pas, mes yeux passent sur la toile d'un blanc à faire pâlir tous les autres.
Bien qu'étonnée par son baise-main, je ne cille pas. C'est la règle chez moi, ne jamais laisser transparaître ce qu'il n'est pas nécessaire de montrer. Sans mon consentement, tout mon corps se tend, classique réaction de défense en face d'inconnu, mais un sentiment me pousse à me dire que ça n'est pas le moment.

"- Nous n'aurons qu'une après midi, je vais faire tout cela dans un mouvement proche du surréalisme, cela vous semblera peut-être bâclé ou déshonorant d'avoir posée nue pour un tableau dont les traits ne seront pas aussi fins que ceux d'un tableau de la renaissance allemande. Mais si vous êtes un modèle formidable je vous reprendrai pour des sessions en intérieur pour des travaux bien plus colossaux. Bien je vous prierai demoiselle Aemi de vous mettre nue. Je vous laissez adopter la posture, mais j'ai besoin que vous essayiez de vous "fondre" dans les immeubles de la ville. Si vous voulez, je veux représenter la femme comme la société peu la voir, simple instrument, simple structure sociale, simple objet pratique, esthétique de décoration, utile aux hommes mais reléguée parfois au second plan. Une métaphore de l'amour instrumentalisé"

Fais bien ce que tu veux, me dis-je, mais je ne pouvais m'empêcher d'être intéressée par ce qu'il dit, ce qui, chez quelqu'un de normal, est bien la moindre des choses. Mais pas pour moi. Je souris en réponse à ses compliments, dévoilant mes dents non sans une certaine humilité.

"- Je n'ai jamais encore été modèle, il faudra peut-être me guider au début, mais je pense avoir compris l'essentiel."

Sourire n°2.
Je retire ma robe de poupée puis mes chaussures, repoussant le malaise instinctif qui se présente à moi. Je n'ai pas honte de mon corps, et quelqu'un est sur le point de le peindre pour la première fois de ma vie. J'enlève mes sous-vêtements et les pose à côté, révélant les quelques bleus qu'il reste sur ma poitrine d'une bagarre en prison. Soudain je suis prise d'un doute, ne suis-je pas trop mince ? Mes tatouages le dérangent peut-être… Il fait froid, je serre les bras autour de mon petit 85B puis réfléchis à la pose que je dois prendre tout en gardant Clotaire à la périphérie de ma vision. Je sais qu'il me regarde, et je réprime un rictus. Je me retourne d'un coup, plongeant mon regard gris dans ses yeux coucher-de-soleil.

"-Je… Je n'ai pas l'habitude d'être un instrument, tu m'aides ?"

Sourire n°3, coupable cette fois-ci. Des idées incongrues traversent ma tête, et je lui tends mes bras pour qu'il m'aide à me positionner comme il le souhaite. C'est étrange, je n'ai jamais été objet, je ne connais pas ce sentiment qu'ont les femmes d'être utilisées. Ni d'être utile. Je me rends compte que mon interaction avec les autres ne me procure rien d'autre que ce que je veux. Je les manipule, et ils n'ont pas l'air de m'en vouloir. J'hausse intérieurement les épaules. Peu importe. Il commence à faire frais, je frissonne.



C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E


À partir de l’adresse
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Dim 23 Aoû - 23:48
À aucun moment il trouvait qu'il en faisait trop, pour Clotaire cette politesse, ce langage, il avait baigné à l'intérieur durant toute sa vie, à l’exception de ses sorties avec Antoinette ou il avait apprit toutes les insultes du monde dans une dizaine de langues au total. Mais au moins son modèle semblait très à l'écoute et plutôt satisfait d'être modèle, puis pour trois-cent euro en général pour les gens de basse catégorie sociale c'était plutôt énorme, c'était avec plaisir que Clotaire payait son modèle, en l’occurrence cette belle jeune femme qui l'intriguait au plus haut point, les couleurs chaudes du crépuscules contrastaient avec son corps qui se fondait dans le décor. Le sourire de la jeune femme interloqua, dommage que la toile soit dans un ton fade, à ce moment précis il voulait la revoir pour un portrait en style classique de la renaissance.

Sa voix était douce, délicate, mélodieuse, il se sentait attiré par ce brin de femme magnifique. Dans son pantalon noir fait pas haut tailleur français sur commande, sa chemise Jean-Paul Gauthier, car le couturier faisait des marques d'essaie « tout public », cette chemise de soie d'un blanc parfait orné de quelques fleurs de lys, et son corps svelte souligné par une redingote du style des années cinquante de couleur faiblement bleuté comme ses chaussures pointues il ressemblait vraiment à un riche naïf, mais qu'importe, il la trouvait sincère.

-Bien sûr, cela va de soir Milady, je vous aiguillerai aussi parfaitement que l'aiguille de ma montre dans notre objectif commun !

Il recula de quelques pas pour commencer à préparer sa palette de couleur pendant qu'elle se dénudait, il chercha premièrement les gris de son modèle en observant sa peau se dévêtir au fur et à mesure que ses doigts faisaient glisser le tissu de sa robe. Il rougissait légèrement se cachant derrière sa toile en préparant les bleus et les blancs. Quand il jeta un autre coup d'oeil il la vit déposer ses sous-vêtements avec ses affaires et sans que cela se contrôle il senti son corps se déformer d'un désir nouveau qu'il n'avait jamais éprouver pour aucune autre qu'Antoinette, son corps se raidit, accentuant la déformation au niveau du jean. Néanmoins Clotaire se ressaisie en récitant le monologue de l'Avare de Molière pour faire passer l'aiguille pointant le nord. Sans succès puisqu'elle était encore trop voyante après ce monologue interne. Rapidement il se saisit des oranges, des rouges et des jaunes dont il avait besoin avec quelques faibles teintes de vert. Il l'écouta à nouveau, elle semblait un peu perdue pour la pause. Aussi le jeune homme très galant prit un tabouret pour le lui amener. Son regard ne vit qu'à retardement les bleus sur sa poitrine, mais il se senti honteux de regarder à cet endroit, mais en réalité ces bleus l'arrangé tellement.

-Et bien... je souhaiterai que vous soyez soit assise dans une position provocante sur le bord de la rambarde, mais j'ai peur que vous tombiez par un coup de vent, votre corps si beau et délicat ne doit pas souffrir d'être plus malmener. Les bleus sur votre poitrine exprime totalement un aspect du but de cette peinture, donc j'aurai besoin d'une vue de face ou de trois quart. Ah je sais !

Il la fit asseoir sur le tabouret de face et retira ses bras de son 85B effleurant les pointes de ses collines de chaire en même temps. Il fit écarter ses cuisses délicatement pour que l'écart soit aussi large que possible. Face à la nudité d'une fleur que le désir n'a pas encore fait éclore il sentit son corps se raidir et sa position accroupie cela n'accentuait pas les choses, c'était assez voyant et il espérait pouvoir la peindre avec de la vraie peinture, pas une peinture humaine détournée de son but premier.

-Voilà ensuite...

Il prit la main droite de la demoiselle pour cacher sa fleur délicatement en prenant soin d'écarter les le majeur et l’auriculaire pour suggérer l'entrée de ce jardin privé. Il prit l'autre main de la demoiselle pour qu'elle s'agrippe la gorge de manière menaçante comme si elle devait s'étrangler elle même prenant soin à ce que les bleus de sa poitrine soient le plus visible possible. Il recula un peu silencieux et fut heureux de voir que son modèle était à moitié dans l'ombre et à moitié dans le soleil.

-Vous êtes exquise mademoiselle, un régale d'avoir un modèle tel que vous...

Il voulait terminer sa phrase. Si seulement les boutons de son pantalon n'avaient pas sauter sous la pression de son désir, c'était à cet instant qu'il se maudissait de porter des slims qui mettaient encore plus en avant les formes de son chêne. Il regarda la demoiselle rouge pivoine. Ce qu'il ne savait pas c'est qu'à présent l'ouverture laissait transparaître un caleçon de soie très fin qui moulait parfaitement son chêne raidit par une croissance de désir.
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Lun 24 Aoû - 4:10





« Would u tremble if I touched ur lips ?  »


Sur sa palette les nuances se suivent, se mélanges, il m'offre le spectacle de la peinture qui danse avant chaque tableau, et je crois reconnaître l'odeur légère de l'acrylique. Mon visage se tourne vers l'horizon, et je ne peux m'empêcher d'être emplie d'excitation à l'idée de voir le rendu final.

Il me fait rire, avec ses expressions du XIXème et ses vêtements renaissance. Peut-être ne s'en rend-il pas compte, mais il fait très steampnk, comme ça. Comme il me le demande, je m'assoie sur le tabouret, posant délicatement mon dos sur la barrière. Je ris légèrement devnt sa fascination pour mes bleus:

"-Heureux hasard alors, sans toi ces bleus n'auraient servi à rien."

Puis l'histoire qui les a engendrée n'est pas glorieuse, à vrai dire. Je perds quelque fraction de secondes pour penser à cette grognasse qui avait cru pouvoir imposer son règne, la même qui avait fini par me supplier d'arrêter de lui casser le nez à grand coup de tatanes. Son visage n'était plus que vaguement humain après ça, ha !
Tout mon corps frissonne au contact involontaire des ses doigts sur ma poitrine. Je le laisse me manipuler sans manquer de remarquer que sous ses fringues haut de gamme tout un monde entrait en ébullition.
Je sollicite ma souplesse pour l'aider, et me permets de changer légèrement mon port de tête pour qu'il soit plus sensuel.
On dirait qu'il a peur de me toucher, et en même temps je sais qu'il en meurt d'envie. Ce serait fou. Je ne sais pas qui il est, je ne sais pas d’où il vient. Ici les gens sont des criminelles.
Une petite voix dans ma tête me ramène à la dure réalité. "toi aussi." Haha. C'est pas faux, tout ça.
Il était occupé à positionner ma main entre mes cuisse lorsque mon ventre a commencé à faire des siennes, les ailes de la centaine de papillons paniquant à l'intérieurs m'exaltent si fort que j'ai peur que ça ne se remarque…

"-Vous êtes exquise mademoiselle, un régale d'avoir un modèle tel que vous…"

C'est à cet instant là qu'un objet facilement identifiable percute mon estomac, laissant s'échapper les lépidoptères assoifés de désir qui l'occupaient. Et c'est comme atteinte d'une obsession malsaine que je dévore des yeux le carré de soie qui laisse aisément deviner ce qu'il se cache en dessous. Et ce qu'il s'y cache n'a pas l'air indifférent à l'électricité ambiante. Je secoue la tête, et sourie, gênée.

"-Dommage, c'était un beau pantalon…"

Je me lève pour ramasser le bouton d'argent à mes pieds, et recule jusqu'à sentir le métal froid de la barrière au bas de mon dos. J'observe le petit objet quelque secondes, le faisant danser avec mes doigts puis le glisse entre mes lèvres.

"-Viens le chercher." dis-je, un joli sourire peut-être légèrement carnassier décorant mon visage.



C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E


À partir de l’adresse
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Lun 24 Aoû - 4:51
Il y avait une gêne immense qui se dégageait du visage de Clotaire, comme à chaque fois que quelque chose de contraignant de passait sous ses yeux. En l’occurrence c'était l'échappée de son bouton d'argent du peloton de son pantalon qui le gênait. Son regard se posa dans le sien alors qu'il sentait une certaine virilité éclore de ce pantalon laissant des formes charnelles bien plus supposées que ce qu'elles devraient être. La remarque de la demoiselle le fit rougir au plus au point et il détourna le regard sentant sa gorge se serrer ne sachant que faire à ce moment précis. Il finit par hoqueter difficilement.

-Vous trouvez Milady ? Il faudrait mieux que je le garde peu-être ?

C'était là une tentative désespérée de repousser le regard brûlant de désir de son modèle, son regard osa à nouveau braver le sien et la chaleur qui le dégageait ne pouvait que l'atteindre laissant son corps se contracter rendant plus visible le pinceau dans sa trousse. Aemi se leva prenant le bouton avec elle en même temps, il tendit la main pour le recevoir, mais ce fut tout autre, elle se recula sensuellement jusqu'à la rambarde froide et lui lança un petit défis qui l'ébranla. Seule Antoinette osait ainsi le provoquer. Antoinette d'ailleurs, devait-il se laisser aller ? Peu-être ? Peu-être pas ? Après tout elle avait couchée avec bien des hommes sans que lui n'ouvre la bouche, peu-être que diversifier sa galerie féminine lui apprendrait de nouvelles choses pour faire exploser le cœur de celle qu'il aime. Il déglutit quelques instants et se concentra ce qu'il devait faire. Il plongea à nouveau son regard dans le sien, il allait le faire, chercher ce bouton et si cela pouvait s'entendre jusqu'aux oreilles d'Antoinette cela serait des plus plaisants.

-Je vois... Effectivement il faut bien récupérer ce qui est à soit.

Lentement il s'approcha de la jeune femme d'un pas décidé, le rouge de ses joues s'estompant petit à petit, cela le gênait certes, mais après tout il fallait qu'il vive pour lui un peu. En arrivant contre la demoiselle il pu sentir les courbes féminines de ses cuisses contre lui alors que ses lèvres fines, pulpeuses et légèrement humides venaient se loger dans le cou de la demoiselle quelques instants déposer de sensuels baisers, ses mains puissantes enlacèrent la jeune femme par la taille la griffant légèrement. Son regard observait les lèvres de la demoiselle et son bouton, mais il trouva là quelque chose de bien plus amusant à faire.

-Ce bouton est à moi que je sache.

Soudain, il s’accroupit écartant les jambes que son visage soit face au jardin de la demoiselle. D'une main puissante il écarta les cuisses de son modèle afin de s'offrir une vue intéressante sur son fruit défendu. D'un coup de langue vif et précis il vient se saisir du bouton de la demoiselle l'enlaçant langoureusement dans un mouvement lent, puissant, assuré. Une main aventureuse vient entre ses lèvres qu'il écartait pour les caresser respectivement avec l’annulaire et le majeur afin de stimuler son modèle. Il resta ainsi quelques longues secondes avant de remonter en prenant au passage la pointe de sa poitrine entre ses dents alors que ses doigts d'artistes les caressaient délicatement. Enfin face à Aemi il l'embrassa avec passion se pressant contre elle, une main remonta piquer le bouton qu'il glissa sous son caleçon. Puis il dévia légèrement son visage afin que ses lèvres capturent son lobe d'oreille respira suavement laissant un souffle chaud et humide sur son oreille.

-Je vous sommes immédiatement de récupérer ce bouton Milady...
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Lun 24 Aoû - 10:20



« Ta bouche incite aux pire des choses. »


Je ne peux m'empêcher de sourire devant la profonde gêne qui l'atteint, c'est clair qu'il est bien trop galant pour moi, bien trop sain. Je secoue négativement la tête, c'est certes un magnifique pantalon mais il n'a pas l'air repoussant en tenue d'Adam non plus.
Les secondes avant que nos deux entités corporelles se rejoignent paraissent durer des heures, et quand enfin il plaque son corps contre le mien le temps semble se remettre en marche. Je me déhanche légèrement comme seules les femmes savent le faire et je ferme les yeux, me laissant emporter par la grave symphonie de son souffle dans mon cou. Le bout de métal froid est toujours entre mes lèvres et je m'exalte  en attendant qu'il vienne récupérer son bien.

Je le sais descendre vers mon intimité, puis c'est avec surprise que je sens ses mains empoigner mes cuisses pour les écarter impitoyablement, et c'est avec délice qu'il s'y venge des tourments que j'ai pu lui causer. Je soupire de soulagement quand sa langue entre en contact avec ma peau, délivrée de l'attente et de la frustration qu'il avant engendrées. Je passe une main dans ses cheveux clairs lorsqu'il remonte et le laisse récupérer le bouton entre mes dents, toujours souriant. Je laisse glisser mes doigts le long de sa chemise, respirant son parfum haut de gamme jusqu'à en imprégner mes poumons. Mes ongles cherchent à entrer en contact plus profondément avec sa chaire, je lui griffe les épaules tandis qu'il susurre à mon oreille. Si sa voix est pleine de désir, la mienne est presque coupée, et je réponds par un sourire, sourires qui deviennent de plus en plus provocateur. On m'a dit un jour, "Aemi, ta bouche incite aux pires des choses."


-Je vous sommes immédiatement de récupérer ce bouton Milady..
- Seulement si c'est votre plus cher désir…"

Je me moque gentiment de ses airs vieux bourgeois tout en défaisant doucement sa chemise à la texture de caresse. Mes lèvres passent de son lobe à son cou en effleurant les siennes, puis de son cou à son torse imberbe. Je prends un malin plaisir à faire durer la torture, espérant secrètement qu'il s'en vengera éhontément. Mes mains baladeuses explore son corps d'inconnu, voyageant de ses reins jusqu'à son membre derrière le caleçon de soie. Je descend son pantalon aux chevilles, comme à un enfant destiné à prendre la plus grosse punition de sa vie. Mes caresses au creux du V j'attends qu'il frissonne avant d'ouvrir la bouche et d'embrasser langoureusement l'endroit interdit. J'en oublierai presque ce foutu bouton d'argent. Je lui fais explorer ma bouche, suivie de ma gorge, pour finalement l'abandonner à ma langue passionnée, la pulpe de mes doigts toujours abandonnée à ses caresses. Je remonte en baisant son nombril puis le creux de sa gorge, mes sens sont à l'agonie.
J'aimerai l'enlacer, commencer à danser la valse sensuelle de ceux qui décident de s'unir pour un instant, j'aimerai le satisfaire, le frustrer, le rendre fou de désir pour moi, lui laisser l'espace d'un instant la possession de mon identité féminine.

Je m'assoie sur la barrière en passant mes jambes autour de sa taille et l'attire à moi pour plaquer ses mains sur mes hanches, et nos deux corps ondulent à en perdre le nord, et nos deux corps s'affrontent, nos respirations chantant à l'unisson.
Le visage niché dans son cou je mords sa jugulaire, m'abandonnant à lui pour sombrer dans une dimension brûlante, criante, imprudente.




C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E


À partir de l’adresse
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Lun 24 Aoû - 10:51
Clotaire ne se sentait nullement honteux d'éprouver du désir et de l'envie pour une autre femme que Antoinette, au contraire, pour un fois il était fière d'en désirer une autre et pour la première de s'y abandonner, il espérait tellement la rendre jalouse au moins qu'elle déciderait de le conserver pour elle. Il avait fini de sussurer au creux de son oreille, l'emprunte de ses doigts sur la chevelure lui avait semblait douce et puissante, mais il se trouvait dans une humeur particulièrement vorace, une envie puissante à combler une frustration à évacuer.

L'invitation qui avait tendu à la demoiselle avait été acceptée rapidement, sentir les doigts de la belle sur ses épaules, l'envie naissante. Les mains de la demoiselle le mirent rapidement torse-nu et ressentir les lèvres de cette dernière contre lui l'emplissait d'envie faisant gonfler un peu plus sa fierté. Quand il se senti nu, dans son plus simple appareil il observa la posture d'Aemi ce qui le fit rougir, parfois une femme à genoux pour savourer une sucrerie était bien plus excitant qu'un plat de résistance. Au contact de sa langue chaude et humide Clotaire ne pu retenir un gémissement sensuel alors qu'il se cambrait faiblement le corps tendu sous l'envie. Puis il rencontra sa langue brûlante et une gorge étroite qui forcèrent le jeune homme à retenir un petit cri de plaisir, il se sentait toujours aussi précoce que la première fois, le plaisir était plus intense à chaque fois. Il regardait la demoiselle aux cheveux rosâtres faire sans se lasser de sa langue parcourant son pieux de chaire. D'une main douce mais masculine il caressait la joue de son modèle avec une envie puissante. Lorsqu'elle revint à lui il l'embrassa avec fougue osant une petite fessée provocatrice.

-Le nu est la tenue qui vous habille le mieux Aemi...

Il lui sourit de manière tentatrice et se laissa attirer à elle et enlacer. Il la retenait et sentir sa fleur contre sa tige l'excitait de plus en plus si bien que d'un geste habile guidé par un petit mouvement de la main il s'introduisit dans le jardin secret de sa partenaire en retenant un gémissement suave. Il dévora la demoiselle des yeux et se démarra un puissant tango laissant son bassin onduler lentement mais avec puissance, il visitait chaque recoin de son intimité caressant ses parois pour lui procurer tout le plaisir possible. Pendant ce temps ses mains fermes pétrissait ses fesses comme lui seul avec le secret grâce à quelques cours de massages. Il se laissèrent dans cette position quelques minutes avant que Clotaire ne se mette à la porter pour la déposer délicatement au sol en se retirant murmurant.

-Aimez-vous le chant lyrique milady?

Puis il la retourna pour qu'elle lui tourne le dos et la pencha légèrement en avant afin de s'introduire entre ses lèvres puis son intimité dans une levrette. Dès les premiers mouvements de bassins Clotaire avait décidé de bannir quelques mots: Douceur, délicatesse, lenteur. Il se faisait bien plus brutal et rapide, n'hésitant pas à aller aussi loin que possible dans la plantation de son modèle. Il se déhanchait d'une manière bien plus masculine, de cette façon dont il cherchait à combler Antoinette quand elle avait vraiment faim de sexe. Il ne ménageait surtout pas Aemi en agrippant férocement son fessier profitant de sa peau douce et son cul rebondit. Il n'attendait qu'une chose, c'était de voir comment elle le pousserait dans ses retranchements. Comment elle le mènerait à l'orgasme.
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Mar 25 Aoû - 1:27



« I like the smell of ur skin on mine.  »


Un gémissement suave s'échappe de ma bouche, et la danse continue, inlassablement, accélère pour ralentir, et le rythme aux saveurs de musc ne s'arrête jamais. Mes yeux tantôt ouvert tantôt fermés papillonnent devant son visage, comme brûlés par la chaleur que nos deux corps dégagent ainsi unis. Je ne contrôles plus ni mes mains, ni mes hanches, ni mes baisers. C'est un frisson qui ne s'arrête jamais, comme une tempête entre mes reins, et j'imagine nos deux silhouettes se découper dans le crépuscule d'été, face au soleil, et tellement près du ciel.

Il me porte quelques secondes, et un élan de frustration me transperce lorsqu'il se retire pour me reposer. J'aurai préféré que cet instant dure des heure. Mais il n'était pas de cet avis, et dans son regard je croise cette lueur de détermination qui est commune à biens des hommes…
"-Je chanterai pour toi, si tu chantes pour moi."
Eternel sourire, en écho à mon désir intarissable et toujours grandissant. Ses mains se saisissent de ma taille et il me retourne impitoyablement. A partir de maintenant ça n'est plus une danse. C'est une mise à mort, une déclaration de guerre, un combat entre nos deux entités, et elles se battent à coup de reins. Je lui abandonne mon corps et saisis une de ses mains pour la poser sur mon sein avide de sensations.
Tous mes muscles se tendent tandis que je gémis à en perdre haleine, en proie à des sensations trop belles pour être simplement écrites. Je murmure son nom, histoire de me souvenir à qui j'ai affaire et le somme de me suivre alors que je commence à descendre en dépliant mon corps. Celui-ci s'allonge et je croise les jambes pour multiplier par un google plex ses sensations d'homme.
D'un coup je le repousse, c'est à mon tour de jouer.
Je le force à s'allonger et remonter le long de son torse à coups de baisers, usant des dents sur sa poitrine.
Je le chevauche, le dos cambré à en avoir une scoliose, et d'une main puis deux saisit son membre, membre qui ne semble pas prêt d'arrêter de durcir. Je me positionne au dessus de lui, prenant soin de ne stimuler que le bout de son arme, le destinant à une longue et sulfureuse agonie. J'attends qu'il riposte, impatiente de me faire à nouveau dominer par mon peintre, et je lui mords le cou pour lui faire part de mon désir, tout en prenant soin de laisser une trace de mon passage, une de mes sales habitudes...



C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P I C O D E
Revenir en haut Aller en bas
avatar




Invité
Invité
Mar 25 Aoû - 10:22
La nuit était presque tombée et l'union entre les deux étudiants atteignaient une chaleur solaire, leur souffle rayonnaient un désir que rien ne pourrait refréner comme une puissante avalanche. Cette chaleur était presque palpable et faisait éclore des fleures de désir et des bois diamants aussi solides que l'adamantium, on pouvait le dire, Clotaire prenait un plaisir monstrueux à ainsi coucher avec cette Aemi. il ignorait tout d'elle, du moins tout ce qui n'était pas physique, il pouvait à présent replacer chaque grain de beauté, chaque bleu, chaque ride de sa main, chaque tache de naissante. Il la connaissait par coeur comme un peintre connait ses muses.

La levrette progressa vers une amazone, Aemi voulu se satisfaire d'un instant domination alors qu'elle forçait l jeune homme à même le soleil soulageant sa tête de ses vêtements qu'il rassembla en boule en quelques gestes peu précis. Si la vision d'une femme manger une sucrerie l'excitait, celle d'une femme faisant du cheval à bascule l'était d'autant plus. Pour décupler leur plaisir mutuel il avait saisit fermement ses hanches et ses genoux s'étaient remontés laissant ses pieds au sol. Puis il exécuta de puissants mouvements de haut en bas au même rythme que sa princesse en posant son regard dans le sien pour ne plus le quitter si ce n'est pour observer ses lèvres délicates. Il lui arrivait de gémir mais il était peu expressif lors de ses rapports, mais la pression de ses mains, la cambrure de son dos en disait long sur l'extase qui l'envahissait un peu plus à chaque instant.

Puis elle se retira, frustrant le jeune homme qui lui lança un regard noir même si elle le stimulait légèrement du bout du tronc. Cependant pour l'achever et s'achever il la renversa en missionnaire assurant son confort en posant ses vêtements sous son fessier pour relever son bassin et sous sa tête par sécurité. Il vint l'embrasser langoureusement laissant sa langue s'allier à la sienne et la mordiller d'une manière joueuse. Pendant ce temps sa main empoignait fermement sa poitrine pour la faire languir. Puis il la pénétra finalement de tout son long ondulant rageusement du bassin tenant ses appuis pour décupler ou ralentir ses mouvements aisément, il jouait du rythme alternant haute vitesse et lenteur sadique. Mais il décida après quelques délicates minutes de se redresser et poser les deux chevilles de sa partenaire sur son épaule et refermer ses cuisses pour des mouvements en terre étroite, l’irruption de désir ne tarderait pas à venir ravageant tout sur son plaisir.

Il se sentait venir après quelques dizaines de vas et viens et une lumière d’intelligence se leva: ou allait-il la mettre? C'était là un problème, il ne pouvait rester dans son jardin, cet engrais pourrait être nocif. Aussi il regarda sa partenaire et lui murmura entre deux gémissements.

-Je m'excuse milady, mais il y a un engrais qui ne soit pas couvrir votre jardin ni le sol, je vous prierai d'ouvrir la bouche afin de vous abreuver d'un nectar qui j'espère vous conviendra.

Il avait parlé par saccade absorbé par l'effort et le plaisir, mais le message bien que dit de manière délicate était là, qu'Aemi semble le vouloir ou pas elle allait goûter à quelque chose que jamais Antoinette n'avait goûté à sa connaissance: sa semence. Quelques secondes avant l'instant fatidique de l'orgasme il se retira espérant sincèrement avoir comblé sa partenaire, il dirigea son bois diamant aux lèvres de la jeune femme pour l'abreuver par d'épaisses effluves de sèves n'arrivant pas à retenir un cri qui se traduisit par le prénom d'Aemi. Il se figea quelques instants avant de s'assoir légèrement essoufflé en rougissant, s'asseyant aux côté de la demoiselle toujours au garde à vous, glissant un timide.

-En espérant que le divertissement fut à la hauteur de la beauté de mademoiselle.
Revenir en haut Aller en bas




Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
{X} Bodies and art FT Clotaire E. du Baillier
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Au Vol'heur des minutes perdues [ Clotaire / Mike]
» Les reTRONCvailles c'est quand tu revois quelqu'un avec un supplément "face dans l'étagère" [ Clotaire / Antointte]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Flood :: Rp's inachevés-
Sauter vers: